“Mon” arbre
C’était ainsi que je t’appelais.
Un “mon” affectueux,
Et pas de propriété
Car tu n’étais pas mien,
À mon grand regret.
Je te savais en sursis,
Mais j’espérais
Que l’on te garde auprès de moi,
Pour pouvoir continuer à t’admirer.
Ce matin je suis partagée,
Entre rage et dépit,
Entre tristesse et envie… »
Témoignage d’une habitante des Deux-Sèvres